ETIOMEDECINE

Un soin global

L'impact d'un choc, d'une émotion ressentie comme « négative », d'une agression, d'un système de pensée aliénant , vient créer des tensions cellulaires et énergétiques. Le fait de lâcher les ressentis négatifs permet de relâcher la tension cellulaire et énergétique liée à ces mémoires de souffrances.
L'exemple de l'huître est intéressant pour visualiser l'image de la cellule agressée.
Quand vous touchez avec un couteau à huître la membrane de celle ci, elle se rétracte.
Pour les cellules du corps, c'est un peu pareil. L'intensité ou la multiplicité des chocs amènent nos cellules à se rétracter et créer des résistances. Les systèmes nerveux et hormonaux plus complexes chez l'homme enregistrent et mémorisent ces chocs.
Les modes de pensées, moraux, philosophiques, dogmes bien qu'utile pour vivre et respecter ce qui nous entoure dans un premier temps, peuvent être des freins voire pire et ainsi causer du tort physique et psychologique à sa propre personne, sa vision du monde et son entourage.

Le soin vise à lâcher ces résistances et à redonner de la flexibilité à notre système émotionnel et mental. Voir et ressentir les choses avec lucidité et un peu plus de liberté...

Le déroulement du soin

Le patient expose sa plainte du moment, son symptôme ou mal être.
Il vient s'allonger sur la table de soin. L'accompagnant à sa gauche  vient chercher à l'aide du pouls, les problématiques  qui viennent bloquer le patient. (relation à  soi, aux autres,  doutes,  santé, relation socio professionnelles, , à l'enfance, à l'autorité,à l'argent,à la sexualité,à la mort, non dits familiaux...), ainsi que des problématiques conceptuelles( façon de pensées non juste pour la vie affective du patient).
C'est au patient à trouver le ou les scénarios de vie qui résonnent au thème proposé. Si le pouls réagit et que le patient ressent ce qu'il verbalise, que l'accompagnant est présent à la souffrance et la reçoit. La mémoire de souffrance s'exprime et le soin opère.

 Lorsque les ressentis négatifs sont relâchés et traversés, le patient se détend. Le pouls revient à un état « stable ».